Jacques de lalaing
 
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Expositions, photographie, cinéma, théâtre, littérature, musique suscitent un écho attentif de la part de Jacques de Lalaing qui pratique la culture avec un certain éclectisme.

L’artiste fréquente avec beaucoup d’assiduité les salons où les lectures de textes, la musique et les conférences se succèdent.

Membre du Cercle artistique et littéraire, il participe régulièrement à ses activités. Mais sa notoriété fait qu'il siège aussi comme membre dans différentes institutions.

Il saisit toutes les occasions pour se confronter à la création.

Passionné de musique, il est un auditeur exigeant et critique. Que ce soit à la Monnaie, à l’Alhambra, à la Grande Harmonie ou au théâtre de la Bourse, il écoute encore et encore tous les grands airs du répertoire. Gluck, Wagner, Beethoven, Mozart, Bach, Haendel, Berlioz, Tchaïkovsky retiennent particulièrement son attention.

La danse aussi le séduit et il assiste avec beaucoup d’intérêt et d’émotion aux créations d’Isadora Duncan.

A Paris ou à Bruxelles, Jacques de Lalaing goûte à toutes les formes théâtrales, populaires, de divertissement ou appartenant à la grande tradition classique.

Parfois, c’est le nom de la « star » qui porte le texte qui le fascine, par exemple Sarah Bernhardt.

Le cinéma, qui vient de faire son apparition l’attire dans les salles obscures. Documentaires ou fictions, tous les genres le passionnent. Il voit des films consacrés à la chasse au léopard, au dressage des chevaux, aux inondations de Paris ou un drame tiré du roman Les Misérables de Victor Hugo.

Par ailleurs, Jacques de Lalaing court les salons et les expositions. Il les fréquente à un double titre, soit comme participant, soit comme « regardeur ».

Très peu sensible aux avant-gardes, il ne s’est jamais aventuré sur le chemin des innovations ni sur la voie d’expériences radicales. Au contraire, il développe une vision conceptuelle très classique de l’art.

Concernant ses confrères, ses jugements sont souvent tranchés et sans appel.

Constantin Meunier, Alfred Stevens, Henri de Braeckeleer et Jules Lagae attirent ses suffrages. Par contre il exècre Seurat et Monet et il est mort comme l’a écrit Paul Lambotte
« sans avoir admis que trois pommes peintes par Cézanne puissent constituer un chef-d’œuvre, à quelque point de vue que l’on voulût se placer ».

Il admire le Baiser d’Auguste Rodin mais il ne comprend pas son Balzac qu’il traite « de snow-man sans pipe pour localiser la bouche ».

Documents historiques
 
Prix Caïus 2008
 
Académie royale
de Belgique
     
   
 
   
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