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Jacques de Lalaing, persistance des idéaux classiques et esthétique de la "matière vivante". Une causerie dans le cadre des conférences autour de Constantin Meunier |
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Deux artistes de la fin du XIXème siècle. Constantin Meunier qui exprime notamment la noblesse du travail et Jacques de Lalaing dont une partie de l'uvre reflète l'héritage aristocratique. Jacques de Lalaing installe son travail dans la continuité d'une tradition instituée qu'il ne conteste pas. Sa peinture est classique. Avec un bagage technique maîtrisé, il ne quitte pas les rives d'un art classique. Ses tableaux font référence aux anciens et s'inscrivent dans un courant qui cultive la beauté pour elle-même. Sa sculpture, par contre, mélange idéalisme et vision organique plus " baroque ". Elle est sensualiste, créative, personnelle. Son uvre sculpturale, principalement lorsqu'il s'attaque aux fauves et aux chevaux, est pensée avant tout comme un objet sculpté, comme une forme qui occupe l'espace. En cela, elle touche à l'intemporel.
Lieu : Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique 3 rue de la Régence, 1000 Bruxelles
Date et horaire : Mardi 2 décembre 2014 à 10h15
Lien : www.extra-edu.be
Réservations :
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