Jacques de lalaing
 
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Jacques de Lalaing a une vie mondaine brillante et bien remplie. Il passe des bals de la cour aux soirées organisées par le duc d’Arenberg ou le prince de Ligne.

Mais aussi très souvent il fréquente l’opéra, les soirées littéraires, les thés mondains et répond avec plaisir aux invitations à dîner chez Paul Errera, Armand Anspach, Victor Allard, Adrien d’Ursel ou Henri de Croÿ.

Il côtoie régulièrement les membres de la famille royale à Bruxelles, Laeken ou Spa.

Il invite et est invité.

Ses occupations dans la haute société s’apparentent le plus souvent à d’agréables distractions.

Avec sa politesse raffinée, sa culture, son esprit, son élégance morale, il est aussi à l’aise avec ses modèles, ses fournisseurs, ses amis artistes qu’avec le Souverain ou les familles les plus huppées de Belgique et d’Europe.

Il s’adapte à toutes les situations et tient parfaitement son rang.

Passionné par les fauves et les chevaux, il affectionne particulièrement les concours hippiques et lorsqu’il déambule sur le champ de course, c’est d’abord en artiste qu’il réagit. Au concours de chevaux de trait du Cinquantenaire, il compare les équidés aux monuments : « d’admirables bronzes encore enlisés dans la gangue ».

Pendant la belle saison, Jacques de Lalaing va rejoindre ses amis en province ou à l’étranger. S’il goûte à la flânerie, cède au luxe et à l’oisiveté, il en profite aussi pour rassasier son appétit culturel et esthétique.

Documents historiques
 
Prix Caïus 2008
 
Académie royale
de Belgique
     
   
 
   
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